30 avril 1945. Dans son bunker, Adolf Hitler se donne la mort avec sa femme, Eva Braun, alors que l’Armée rouge envahit Berlin. Son suicide déclenche une réaction en chaîne parmi les dirigeants nazis : au moins deux cents d’entre eux disparaissent pour des raisons variées, que ce soit pour échapper au châtiment ou pour fuir le temps de la défaite et la destruction du IIIe Reich. Un essai de Philippe Valode qui fait la lumière sur un phénomène encore peu étudié.